Centresde stabilisation et hĂ©bergement d’urgence. L’accueil en hĂ©bergement , considĂ©rĂ© comme temporaire, est destinĂ© aux personnes sans domicile ou contraintes de le quitter en urgence, en situation de prĂ©caritĂ© et connaissant de graves difficultĂ©s sociales. De l’abri immĂ©diat Ă  l’hĂ©bergement d'insertion, Adoma propose des AucƓur de notre activitĂ©, il y a des femmes et des hommes de tout Ăąge et de tout horizon, en situation prĂ©caire et rencontrant des difficultĂ©s d’ordre professionnel, social ou personnel. À travers la production de lĂ©gumes biologiques, distribuĂ©s sous forme de paniers hebdomadaires Ă  des adhĂ©rents-consommateurs, le Jardin de Cocagne de Saint-Bernard permet Ă  ces LesCCAS ou les CIAS (Centre Intercommunal d’Action Sociale, un CCAS commun Ă  plusieurs communes) proposent une aide supplĂ©mentaire, bien souvent d’urgence, lorsque l’aide classique ne suffit plus. Ce sont des secours financiers accordĂ©s dans le cadre de l’ urgence, pour des gens qui sont momentanĂ©ment sans ressources (au chĂŽmage Guidesdes aides. Le Conseil DĂ©partemental apporte aux RĂ©unionnais, notamment les plus vulnĂ©rables, de multiples rĂ©ponses Ă  leurs problĂ©matiques quotidiennes : garde de jeunes enfants, Ă©tudes des plus grands, insertion des jeunes adultes, mais aussi bien-ĂȘtre des sĂ©niors et confort des personnes porteuses de handicap et de leurs En1976, Ă  l’occasion du 30 Ăšme anniversaire du Secours Catholique, une rĂ©flexion au sein de la DĂ©lĂ©gation de la Haute-Garonne s’est portĂ©e sur la famille et sur les couples en difficultĂ©s Ă  Toulouse. Les structures qui existaient alors recevaient en foyers sĂ©parĂ©s, soit des hommes seuls, soit des femmes avec ou sans enfants, le souhait de cette dĂ©lĂ©gation Ă©tait de rĂ©unir les Vay Tiền Nhanh Ggads. Le nombre de personnes sans-domicile est en progression constante, avec presque un doublement entre 2001 et 2012, selon les statistiques de l’Insee et l’Ined. Et 38 % des sans-domicile adultes sont des femmes. Dans un contexte oĂč les acteurs de terrain, associatifs notamment, soulignent diffĂ©rentes Ă©volutions des personnes Ă  la rue on parle de fĂ©minisation, de familialisation ou encore de rajeunissement de la population, il est intĂ©ressant de comprendre comment certaines reprĂ©sentations sur les sans-abri perdurent. Lorsque l’on pense aux personnes Ă  la rue la majeure partie des Ă©vocations sont celles d’hommes isolĂ©s, français, visibles dans l’espace public, consommant de l’alcool, entourĂ©s de sacs, dĂ©laissant le soin de leur corps. En effet, les reprĂ©sentations associĂ©es aux sans-abri demeurent largement focalisĂ©es sur l’expĂ©rience des hommes. Cela se retrouve dans les recherches tout comme dans le discours des intervenants sociaux qui rĂ©sistent Ă  certains changements de profil de leurs bĂ©nĂ©ficiaires, parfois dĂ©munis face Ă  des problĂšmes qu’ils n’ont pas anticipĂ©s. Progressivement se profilent pourtant de nouvelles figures, celle des rĂ©fugiĂ©s d’abord mais aussi celle des femmes. Qui sont les femmes Ă  la rue ? Les femmes sans domicile sont plus nombreuses que l’on ne se le reprĂ©sente, mais elles bĂ©nĂ©ficient de conditions d’hĂ©bergement plus stables que les hommes. Notamment du fait des reprĂ©sentations et des normes sociales qui veulent que les femmes soient davantage associĂ©es au foyer et les hommes Ă  la sphĂšre publique. Toujours selon les derniĂšres donnĂ©es disponibles de l’Insee, parmi les sans-domicile 56 % sont nĂ©s Ă  l’étranger. Cela s’explique du fait de la migration pour les primo arrivants et au-delĂ , du fait des difficultĂ©s Ă  accĂ©der Ă  un logement sans papiers et des discriminations Ă  l’accĂšs au logement y compris lorsqu’un titre de sĂ©jour est dĂ©livrĂ©. Et les femmes, comme les familles, sont majoritaires parmi les sans-domicile nĂ©s Ă  l’étranger. La situation de Kadidjatou que j’ai rencontrĂ© dans un centre d’hĂ©bergement francilien Ă  destination de femmes sortant de maternitĂ© tĂ©moigne bien de ces enjeux. Elle m’explique que c’est sa rĂ©gularisation qui lui a permis aujourd’hui d’intĂ©grer une formation pour envisager accĂ©der Ă  un emploi et Ă  un logement personnel avec son fils de 14 mois. Avant cela elle Ă©tait coincĂ©e, et circulait entre les solutions d’appoint, la rue et les centres d’urgence. C’est en tant que famille qu’elle a pu accĂ©der Ă  cette structure, or la situation change lorsque les enfants deviennent ou sont majeurs ils ne peuvent bĂ©nĂ©ficier d’hĂ©bergement en tant que famille. C’est ce qu’a vĂ©cu Anne-Claire avec son fils, lorsqu’elle s’est faite expulsĂ©e de son logement. Ne souhaitant ĂȘtre sĂ©parĂ©e de son fils, elle a alors choisi de dormir dans des parkings, des cages d’escalier, une tente. Elle m’a racontĂ© son histoire au moment oĂč elle avait finalement trouvĂ© un logement insalubre oĂč vivre avec son fils. MalgrĂ© son travail d’intĂ©rimaire, elle continuait Ă  faire la manche, Ă  demander aux commerçants des denrĂ©es pĂ©rimĂ©es pour survivre. La dĂ©brouille acquise Ă  la rue constitue encore pour elle une ressource, le logement n’ayant pas permis de rĂ©pondre Ă  l’ensemble de ses difficultĂ©s matĂ©rielles. Champ de Mars, Paris, 2016 les femmes ĂągĂ©es sont particuliĂšrement touchĂ©es par la trĂšs grande prĂ©caritĂ©. NatCau2016/Flickr, CC BY-ND Aux deux extrĂ©mitĂ©s de la pyramide des Ăąges, la pauvretĂ© et son versant liĂ© au logement se dĂ©veloppent. D’autres femmes, plus ĂągĂ©es qu’Anne-Claire, font face aux difficultĂ©s de se loger avec des retraites largement insuffisantes, quand elles ont passĂ© leur vie Ă  s’occuper des membres de leur famille ou que leur travail n’était pas toujours dĂ©clarĂ©. C’est le cas de Josette ĂągĂ©e de 78 ans au moment de notre entretien, qui souffre de douleurs importantes aux jambes aprĂšs plusieurs opĂ©rations. Comme de nombreuses femmes isolĂ©es, avec des carriĂšres morcelĂ©es, dans des emplois trĂšs prĂ©caires ou dont le travail n’a pas Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©, elle doit dĂ©sormais affronter la vieillesse comme beaucoup, dans des institutions dont elle dĂ©pend pour se loger, se nourrir, se soigner. Mais dans son cas, l’institution est un centre d’hĂ©bergement. Dans le contexte du vieillissement de la population, sa situation ne constitue pas une exception. Des femmes invisibles J’ai abordĂ© certaines situations de femmes sans-abri, mais comment comprendre leur invisibilitĂ© dans un contexte oĂč elles sont pourtant bien prĂ©sentes ? Sur le terrain, j’ai pu constater que leurs pratiques dans l’espace public contribuaient Ă  les rendre invisibles. Documentaire de la journaliste Claire Lajeunie, Femmes invisibles survivre dans la rue », France 5, 2015. En effet, l’espace public, notamment la nuit, est avant tout masculin. Ainsi, tout comme dans l’espace privĂ©, les femmes dans la rue sont confrontĂ©es, en plus des difficultĂ©s matĂ©rielles, Ă  des violences de genre, qui les visent parce qu’elles sont des femmes. Cela recouvre tant les violences conjugales que les violences sexuelles et sexistes, physiques ou psychologiques. Lorsqu’elles n’ont pas d’hĂ©bergement la nuit, pour ne pas ĂȘtre visibles, paraĂźtre vulnĂ©rables, elles vont privilĂ©gier des lieux frĂ©quentĂ©s, passant par exemple pour une usagĂšre normale » des transports toute la nuit sans dormir. Dans d’autres cas, elles vont chercher refuge au sein de commissariats ou d’hĂŽpitaux ; mais aussi vers des lieux de dissimulation comme des parkings. Cette invisibilitĂ© peut Ă©galement se retrouver le jour dans le soin qu’elles apportent Ă  leur corps ou des pratiques de la manche plus discrĂštes. Ainsi, ce souci de survie est aussi une forme de maintien de soi, un refus d’endosser l’apparence de SDF ». Car ĂȘtre visible dans la rue, c’est s’exposer aux regards des autres et Ă  leur jugement. Enfin, femmes invisibles Ă©galement car elles sont plus souvent entre la rue, l’assistance et le rĂ©seau personnel ou familial. Ce qui contribue Ă  rendre moins visible une prĂ©caritĂ© bien rĂ©elle face au logement. Quels enjeux pour les politiques sociales ? Penser l’accompagnement de ces femmes implique de tenir compte de certains enjeux que j’ai tentĂ© de dĂ©crire ici aide Ă  la rĂ©gularisation, mode de garde lorsqu’elles sont en famille, prise en compte des violences de genre. Mais il faut Ă©galement lutter contre les facteurs spĂ©cifiques de pauvretĂ© fĂ©minine prĂ©caritĂ© dans et face Ă  l’emploi, monoparentalité . Certaines associations, comme le FIT Une femme un toit, tiennent compte du cumul de difficultĂ©s auxquelles font face les femmes accueillies. Enfin, les stratĂ©gies qu’elles mettent en Ɠuvre pour demeurer invisibles incitent Ă  penser diffĂ©remment les accueils de jour, en envisageant des salles pour y dormir, en Ă©vitant que les hommes y soient surreprĂ©sentĂ©s. Sinon on risque de les Ă©carter dans les faits de lieux pourtant dĂ©clarĂ©s mixtes. Pour prĂ©server leur anonymat, les prĂ©noms de mes interlocutrices ont Ă©tĂ© modifiĂ©s. Accueil et hĂ©bergement pour femmes enceintes en difficultĂ© Un bĂ©bĂ© non voulu, que faire ? Comment accueillir cet enfant non-programmĂ© ? Que signifie ĂȘtre prĂȘt Ă  accueillir le nouveau venu ? BĂ©bĂ© non voulu... Trop tĂŽt, trop tard, ou simplement "en trop", parce qu'il y a dĂ©jĂ  plusieurs enfants Ă  la maison. La caractĂ©ristique du bĂ©bĂ© surprise, c'est prĂ©cisĂ©ment d'ĂȘtre le grain de sable qui vient gripper la mĂ©canique bien huilĂ©e de nos projets. Contrairement aux idĂ©es reçues, ces grossesses inopinĂ©es sont loin d'ĂȘtre rĂ©servĂ©es aux adolescentes mal informĂ©es Ă  peine 2% des naissances, mais surviennent dans tous les milieux et Ă  tous les Ăąges de la vie. MĂȘme chez des mĂšres de familles nombreuses a priori averties ! Comme des passagers clandestins, les bĂ©bĂ©s surprises embarquent ainsi dans la vie de leurs parents Ă  la faveur d'un accroc du destin. Et s'ils contrarient sur le moment les trajectoires bien tracĂ©es, nombreux sont ceux qui, en dĂ©finitive, savent prendre toute leur place dans le cƓur de ceux qui n'avaient pas choisi de les mettre au monde. TrĂšs jeune mĂšre Blandine, rejoint malgrĂ© elle le bataillon des toutes jeunes mĂšres celle que l'on prend encore souvent, Ă  25 ans, pour la baby-sitter de son fils Gabriel 6 ans ce mois-ci s'est retrouvĂ©e enceinte alors qu'elle vivait encore chez ses parents. "J'Ă©tais en 2Ăšme annĂ©e de droit, je connaissais le papa depuis 9 mois, on Ă©tait jeunes, amoureux
 Mais on n'avait Ă©videmment pas prĂ©vu d'ĂȘtre parents si tĂŽt ! Et pour Thibaut et moi, garder ce bĂ©bĂ©, c'Ă©tait comme un challenge. Car, passer des examens de licence une semaine aprĂšs avoir accouchĂ©, ça n'a rien d'Ă©vident !" Du cĂŽtĂ© de l'entourage, la nouvelle fait souvent l'effet d'une petite bombe. "Pour ma mĂšre, ça a Ă©tĂ© trĂšs dur de se retrouver grand-mĂšre Ă  42 ans. Nos amis, eux, flippaient Ă  l'idĂ©e qu'on ne serait plus disponibles", se souvient Blandine. La norme du bĂ©bĂ© programmĂ© Sortir de la norme du bĂ©bĂ© programmĂ© au "bon" moment, c'est effectivement s'exposer Ă  des regards surpris, voire Ă  une franche incomprĂ©hension. 
 "Une catastrophe ! " Le jour oĂč son test de grossesse s'est rĂ©vĂ©lĂ© positif, Delphine a cru que le ciel lui tombait sur la tĂȘte. A 44 ans, elle avait fait depuis longtemps le choix d'une vie sans enfant. "Ma libertĂ©, c'est sacrĂ©, explique-t-elle. Alors, un bĂ©bĂ© ! J'ai ruminĂ© la nouvelle pendant trois jours, et pleurĂ©, pleuré  Si mon ami ne m'avait pas dit "On le garde", j'aurais envisagĂ© une IVG." Aujourd'hui, maman d'un petit François de 11 mois, Delphine n'est toujours pas revenue de sa mĂ©tamorphose. "Un bĂ©bĂ©, c'est fabuleux, ça apporte un Ă©quilibre incroyable, s'enthousiasme-t-elle. J'ai arrĂȘtĂ© le nombrilisme, j'ai construit quelque chose." Et de conclure, pensive "C'est ce qui s'appelle un heureux accident." Marie-JosĂ©, 45 ans, mariĂ©e, mĂšre de 4 enfants 24, 17, 11 et 2 ans est tombĂ©e enceinte de sa derniĂšre Ă  43 ans. J’ai pensĂ© Ă  l’IVG, parce qu’au niveau financier, c’était pas possible d’avoir un 4Ăšme, mais en fait, je voulais pas trop. Mon mari, lui, Ă©tait pour l’IVG. Je me suis rendue compte que j’étais enceinte Ă  environ deux mois de grossesse. J’ai essayĂ© d’avorter Ă  Paris, mais le mĂ©decin n’a pas voulu. Impossible d’aller Ă  l’étranger, c’était trop cher. Du coup, Ă  la fin, j’ai dĂ©cidĂ© de le garder. Maintenant, c’est une belle petite fille. Elle a 2 ans, elle s’appelle StĂ©phanie. Finalement, je suis bien contente d’avoir cette petite fille." Accueillir la surprise de ce bĂ©bĂ© non dĂ©sirĂ© "Je sais, se laisser surprendre aprĂšs 3 enfants, ça paraĂźt complĂštement fou, convient Claire, 38 ans. Mais j'en avais assez de la pilule 
. Je suis restĂ©e ainsi un an Ă  jouer au "pas vu, pas pris". Jusqu'au jour oĂč
" MĂȘme quand, a priori, on est ouvert Ă  l'arrivĂ©e d'un enfant supplĂ©mentaire, le choix d'accueillir le trouble-fĂȘte reste une dĂ©cision difficile Ă  assumer. "Je m'Ă©tais toujours dit si un jour arrive un enfant non attendu, je le garde. Mais quand RaphaĂ«l s'est annoncĂ© six mois aprĂšs son grand frĂšre, raconte AnaĂŻs, ça m'a fait un choc. Moi qui voulais Ă©voluer dans mon mĂ©tier d'infirmiĂšre, j'Ă©tais bonne pour un nouveau congĂ© de maternitĂ© ! Le plus partant, finalement, c'Ă©tait mon mari." Le dĂ©sir d'enfant est irrationnel "Depuis l'avĂšnement de la contraception, nous vivons dans l'illusion d'une maĂźtrise totale de la procrĂ©ation. Or le dĂ©sir d'enfant garde une dimension irrationnelle. A cĂŽtĂ© du bĂ©bĂ© dĂ», programmĂ©, le bĂ©bĂ© "don", celui dont on disait justement autrefois qu'il Ă©tait "l'enfant du dĂ©sir", n'a pas disparu. Chez certains couples, il peut mĂȘme y avoir une satisfaction Ă  ne pas tout maĂźtriser", observe Liliane F. , psychanalyste au service maternitĂ© obstĂ©trique de l'hĂŽpital franco-britannique Levallois. Blandine, Ă  sa façon, illustre bien cette attitude paradoxale qui consiste Ă  
 choisir de ne pas choisir "Je suis quelqu'un de trĂšs organisĂ©e par ailleurs, mais je trouve sympa de prendre son bĂ©bĂ© comme un cadeau, sans se dire "voilĂ , il va arriver Ă  tel moment. D'ailleurs, le frĂšre de Gabriel, Vincent, est lui aussi arrivĂ© un peu en avance
" tĂ©moigne-t-elle, un peu gĂȘnĂ©e tout de mĂȘme de passer pour une rĂ©cidiviste ! Enfants non attendus et profondĂ©ment dĂ©sirĂ©s De fait, il est des enfants non "attendus" qui sont, de façon inconsciente, profondĂ©ment dĂ©sirĂ©s. "Si j'ai tellement tardĂ© Ă  reprendre une contraception, c'est peut-ĂȘtre parce que je voulais laisser une porte ouverte", analyse aujourd'hui Claire. MayalĂšne, qui s'est emmĂȘlĂ©e dans ses cycles, alors qu'elle les connaĂźt parfaitement, avance une explication voisine "Je suis tombĂ©e enceinte la semaine oĂč ma nouvelle chef est arrivĂ©e. Une chef avec qui, comme par hasard, je n'avais aucune envie de travailler." "Certains enfants non dĂ©sirĂ©s peuvent ĂȘtre, par la suite, aimĂ©s autant, voire plus que les autres. A l'inverse, ĂȘtre trĂšs dĂ©sirĂ© n'est nullement une garantie de bonheur pour un enfant." note la psychanalyste GeneviĂšve Delaiside Parseval 
. Contenu publiĂ© sous la prĂ©sidence de François Hollande du 15 mai 2012 au 15 Mai 2017 De quoi s'agit-il ? La politique d’hĂ©bergement et d’accĂšs au logement menĂ©e par le Gouvernement doit permettre aux personnes sans abri ou mal logĂ©es d’accĂ©der durablement Ă  un logement digne et adaptĂ©. Le 21 janvier 2013, le plan pluriannuel contre la pauvretĂ© a notamment permis la crĂ©ation de 7 000 places d’hĂ©bergement supplĂ©mentaires, auxquelles il faut ajouter 4 000 places en Cada spĂ©cifiquement rĂ©servĂ©es aux demandeurs d’asile, ainsi que 7 360 places en logement adaptĂ©. A cela, s'ajoutent Ă©galement 750 nouvelles places spĂ©cialement rĂ©servĂ©es aux femmes victimes de violences. Si 2013 et 2014 ont permis des avancĂ©es notoires sur la thĂ©matique hĂ©bergement-logement, 2015 est une annĂ©e dĂ©cisive dans l'action contre l’exclusion et pour l’accĂšs au logement. L'augmentation de 4 % du budget consacrĂ© Ă  la mise en Ɠuvre du service public d’hĂ©bergement et d’accĂšs au logement n’a jamais Ă©tĂ© aussi importante. Il atteint 1,3 milliard d’euros. La fin de la gestion au thermomĂštre La fin de la gestion saisonniĂšre du dispositif d'hĂ©bergement a Ă©tĂ© posĂ©e par le Plan pluriannuel contre la pauvretĂ© et pour l'inclusion sociale du 21 janvier 2013. Jusqu’à prĂ©sent, la baisse des tempĂ©ratures Ă©tait le critĂšre permettant l’ouverture de capacitĂ©s exceptionnelles de mise Ă  l’abri. DĂ©sormais, l’ouverture des capacitĂ©s exceptionnelles de mise Ă  l’abri se fait quand c’est utile et indĂ©pendamment de la saison. ConcrĂštement, la seule chute des tempĂ©ratures n’est plus le critĂšre unique mais un parmi d'autres. Sont ainsi retenus les conditions socio-Ă©conomiques des personnes les plus dĂ©munies ; les Ă©ventuels sinistres ou dĂ©faillances d’opĂ©rateurs et les migrations consĂ©cutives aux crises internationales. Agir en amont Emmanuelle Cosse a lancĂ©, fin mars 2016, un plan d’action interministĂ©riel pour prĂ©venir les expulsions locatives pour agir en amont, plutĂŽt que laisser se dĂ©grader les situations jusqu’à l’expulsion ». Ce plan coordonne les moyens de l’État et de l’ensemble des acteurs pour trouver des solutions dĂšs les premiĂšres difficultĂ©s de rĂšglement des locataires et faire diminuer la moyenne annuelle de 11 000 expulsions. HĂ©bergement d'urgence 2 300 places pĂ©rennisĂ©es La fin de la gestion au thermomĂštre » de l’hĂ©bergement d’urgence suppose de fluidifier au maximum les sorties de l’hĂ©bergement vers le logement et d’augmenter les capacitĂ©s du parc pĂ©renne d’hĂ©bergement Ă  hauteur des besoins manquants. Pour la premiĂšre fois, un repĂ©rage a Ă©tĂ© menĂ©, Ă  la demande d’Emmanuelle Cosse, par les acteurs Ă©tatiques et associatifs sur le terrain, auprĂšs des personnes hĂ©bergĂ©es dans les 10 000 places supplĂ©mentaires cet hiver durant la trĂȘve hivernale. Elle a permis d’évaluer Ă  23 % les fins de prise en charges sans orientation vers une solution durable Ă  la sortie de l’hiver. Emmanuelle Cosse a annoncĂ© la pĂ©rennisation de 2 300 places supplĂ©mentaires avec un accompagnement social des personnes, financĂ©e par 15 millions d’euros de crĂ©dits. Il existe aujourd’hui plus de 110 000 places pĂ©rennes d’hĂ©bergement CHRS, hĂ©bergement d’urgence, hĂŽtel, soit 30 000 de plus depuis 2012, en raison d'un effort sans prĂ©cĂ©dent du Gouvernement. HĂ©bergement Ă  l'hĂŽtel une solution provisoire Parmi les 140 000 personnes sans domicile rĂ©pertoriĂ©es en France, nombre d’entre-elles sont accueillies dans les hĂŽtels, faute de places dans les centres d’hĂ©bergement. Pour pallier ce manque de places, L'État et les associations paient des nuits Ă  l'hĂŽtel pour loger temporairement ces personnes, le plus souvent des familles. Cette solution, trĂšs onĂ©reuse pour les finances publiques, ne constitue pas une rĂ©ponse satisfaisante bien souvent, l’hĂ©bergement en hĂŽtel est mal adaptĂ© aux besoins de familles et de personnes sans domicile et il ne permet pas de mettre en place un accompagnement social efficace. L’enquĂȘte rĂ©alisĂ©e par le Samu social de Paris a soulignĂ© les consĂ©quences nĂ©gatives pour les familles difficultĂ©s accrues pour accĂ©der Ă  l’emploi, faible scolarisation des enfants, dĂ©crochage, conditions d’hygiĂšne dĂ©plorables, insĂ©curitĂ© alimentaire
 Au-delĂ  de ces consĂ©quences inacceptables, ce mode d’hĂ©bergement ne permet pas aux familles, sans cesse contraintes de dĂ©mĂ©nager, de se stabiliser. A l'occasion du 20e rapport de la fondation AbbĂ© Pierre sur l'État du mal-logement en France 2015, le Gouvernement a annoncĂ©, le 3 fĂ©vrier, un plan de rĂ©duction des nuitĂ©es hĂŽteliĂšres. L'objectif est d'offrir aux familles des conditions d’hĂ©bergement plus dignes et mieux adaptĂ©es Ă  leurs besoins en rĂ©orientant les crĂ©dits consacrĂ©s au financement des nuitĂ©es hĂŽteliĂšres vers des dispositifs tels que l'intermĂ©diation locative, les rĂ©sidences sociales ou encore les maisons-relais. EstimĂ© Ă  40 000 fin 2014, le nombre de ces nuitĂ©es a baissĂ© de 22 % en 2016 avec le plan de rĂ©duction des nuitĂ©es hĂŽteliĂšres, lancĂ© en 2015. L’État y consacrera un budget de 105 millions d’euros. Ce plan prĂ©voit, d'ici Ă  2017, de CrĂ©er 13 000 places en dispositifs alternatifs, dont 9 000 places en intermĂ©diation locative comme Solibail ; 1 500 places en logement adaptĂ© pensions de familles ou maisons-relais et 2 500 places d’hĂ©bergement dans des centres ou des appartements dĂ©diĂ©s aux familles. A mi-septembre 2016 plus de 6 000 places ont Ă©tĂ© créées dans l'hĂ©bergement gĂ©nĂ©raliste et le logement adaptĂ©. Proposer des hĂ©bergements alternatifs aux 6 000 demandeurs d’asiles actuellement hĂ©bergĂ©s Ă  l’hĂŽtel. A mi-septembre 2016, 12 000 places d'hĂ©bergement pour les demandeurs d'asile ont Ă©tĂ© créées. Renforcer l’accompagnement social, en mettant notamment l’accent sur l’aide alimentaire et l’accĂšs aux droits, des personnes hĂ©bergĂ©es Ă  l’hĂŽtel. Un nouvel appel d'offres a Ă©tĂ© lancĂ© pour ouvrir, dĂ©but 2017, pour crĂ©er 10 000 places supplĂ©mentaires d'hĂ©bergement avec un accompagnement social renforcĂ©. Solibail, maisons relais comment ça marche Outil d’intermĂ©diation locative, Solibail facilite l’accĂšs des mĂ©nages les plus modestes au logement. Garanti par l’État et gĂ©rĂ© par des associations conventionnĂ©es, Solibail permet Ă  un propriĂ©taire de louer son logement pendant trois ans Ă  une association qui prend en charge le paiement des loyers mensuels, l'entretien et la remise en Ă©tat du logement. Le propriĂ©taire est protĂ©gĂ© de tout risque locatif et peut rĂ©cupĂ©rer son bien Ă  l’issue du contrat de bail. Pour toutes informations composez le numĂ©ro azur 0 810 90 18 85. Structures de petite taille, les pensions de familles ou maisons-relais 15 Ă  25 logements, principalement des studios offrent un cadre sĂ©curisant Ă  des personnes isolĂ©es et dĂ©socialisĂ©es. Elles proposent des services collectifs et bĂ©nĂ©ficient de la prĂ©sence quotidienne d’un responsable ayant une qualification dans le domaine social et/ou de l’insertion. Ces solutions sont particuliĂšrement adaptĂ©es pour les personnes qui peuvent cumuler des difficultĂ©s Ă©conomiques, sociales mais aussi de santĂ©. Un renforcement des capacitĂ©s d’accueil En France, l'accueil en hĂ©bergement est inconditionnel pour les personnes sans domicile. Il implique une prise en charge et la mise en Ɠuvre d’un accompagnement en vue de favoriser l’accĂšs au logement. Face Ă  l’augmentation de la demande d’hĂ©bergement, des moyens supplĂ©mentaires ont Ă©tĂ© dĂ©gagĂ©s. 1,3 milliard d'euros consacrĂ©s Ă  la mise en oeuvre du service public de l'hĂ©bergement et d'accĂšs au logement en 2015. La fin de la gestion au thermomĂštre est possible avec la crĂ©ation de places d’hĂ©bergement d’urgence, en logement adaptĂ© et en centre d’accueil pour demandeur d’asile. En 2013, plus de 7 000 places d’hĂ©bergement d’urgence ont Ă©tĂ© pĂ©rennisĂ©es ou créées, et 7 500 places en logement adaptĂ© ont Ă©tĂ© créées pensions de familles, maisons-relais, rĂ©sidences sociales, intermĂ©diation locative. Les moyens financiers sont renforcĂ©s pour 2015 avec un budget en hausse de 4%, qui s'Ă©lĂšve Ă  1,3 milliard d'euros. Pour cette pĂ©riode hivernale qui a dĂ©butĂ© le 1er novembre 2015, le Gouvernement a amplifiĂ© ses dispositifs en prĂ©voyant un nombre important de places exceptionnelles mobilisables durant l’hiver, dont prĂšs de 10 000 sont actuellement ouvertes et le resteront jusqu’au 31 mars 2015 ; en chargeant les prĂ©fets d’organiser des rĂ©unions de concertation avec l’ensemble des acteurs associatifs afin d’anticiper la fin de l’hiver et de permettre le maintien dans l’hĂ©bergement au plus grand nombre. Une des difficultĂ©s de l’hĂ©bergement, c’est le traitement de situations extrĂȘmement hĂ©tĂ©rogĂšnes hommes seuls, femmes victimes de violences, jeunes en rupture, personnes en souffrance psychique. Des rĂ©ponses adaptĂ©es sont alors dĂ©veloppĂ©es pour faire face de la meilleure façon possible aux besoins exprimĂ©s. Des mesures ciblĂ©es sont prises en fonction des profils les jeunes sortant de l’Aide sociale, plus particuliĂšrement ceux ayant vĂ©cu plusieurs placements, reprĂ©sentent 25 % des personnes sans domicile. Des mesures ont Ă©tĂ© prises par les dĂ©partements, sous la forme par exemple des contrats jeunes majeurs qui permettent une prise en charge financiĂšre et Ă©ducative pour une partie de ces jeunes entre 18 et 25 ans ; les femmes victimes de violences ont des besoins spĂ©cifiques et immĂ©diats de mise Ă  l’abri. C’est pourquoi, engagement a Ă©tĂ© pris de crĂ©er 1 650 places d’hĂ©bergement qui leur soient dĂ©diĂ©es, entre 2013 et 2017 ; le programme expĂ©rimental un chez-soi d’abord » favorise l’accĂšs Ă  un logement ordinaire, moyennant un accompagnement renforcĂ© aux personnes ayant un long passĂ© Ă  la rue et atteintes de troubles psychiques sĂ©vĂšres. Le Gouvernement a Ă©galement pris plusieurs engagements pour la fin de la gestion saisonniĂšre de l’hĂ©bergement et l’accĂšs au logement du plus grand nombre avec notamment les diagnostics territoriaux dits Ă  360° » et la fusion des Services intĂ©grĂ©s d’accueil et d’orientation SIAO et des services du 115 seront gĂ©nĂ©ralisĂ©s. Les diagnostics permettront d’identifier les problĂ©matiques et les besoins de chaque dĂ©partement. Les nouveaux SIAO unique » donneront une vue d’ensemble des places d’hĂ©bergement et de logement adaptĂ© disponibles au niveau du dĂ©partement ; le renforcement du droit au logement opposable Dalo et de la prĂ©vention des expulsions locatives. Une circulaire et un dĂ©cret seront respectivement pris en dĂ©but d’annĂ©e, afin de prĂ©ciser leur mise en Ɠuvre ; la construction de 15 000 logements trĂšs sociaux supplĂ©mentaires 5 000 par an Ă  partir de 2015, en plus de l’appel Ă  projets prĂ©voyant la production de 3 000 logements Plai adaptĂ©s par an. Ces deux programmes s'ajoutent Ă  la production de 10 000 logements sociaux accompagnĂ©s sur trois ans lancĂ©e en 2014 ; le plan de rĂ©duction du recours Ă  l’hĂŽtel permettra de proposer des solutions plus dignes aux familles hĂ©bergĂ©es voir ci-dessus. Mieux connaĂźtre l'offre et les besoins des territoires Les prĂ©fets sont mobilisĂ©s pour collaborer avec les acteurs du secteur et Ă©tablir des diagnostics territoriaux Ă  360°, qui permettent de rassembler toute la connaissance sur toutes les situations Ă  prendre en charge de la rue au mal-logement en passant par l’habitat indigne et les mĂ©nages Ă  reloger d’urgence au titre du Dalo, et sur les solutions existantes sur le territoire. En janvier 2015, 13 territoires pilotes sont parvenus Ă  Ă©tablir leur diagnostic, les autres devront les avoir terminĂ©s au mois de juin prochain. Le diagnostic territorial constitue une vision d’ensemble, immĂ©diate et en Ă©volution, de ces situations. En s'appuyant sur cette connaissance fine des situations locales, des plans d’action seront mis en place pour mieux programmer les places Ă  la fois quantitativement et qualitativement et de prĂ©venir les ruptures de prise en charge. Vers l’accĂšs au logement Accompagner une personne qui est Ă  la rue en centre d'hĂ©bergement, c’est l’aider Ă  retrouver son autonomie pour lui permettre d’accĂ©der Ă  un logement. De nombreux Ă©tablissements et outils, gĂ©rĂ©s par les associations, permettent de chercher des rĂ©ponses adaptĂ©es au relogement des personnes. Cela passe notamment par la mobilisation des contingents rĂ©servĂ©s de logements sociaux ou celle de logements accompagnĂ©s pensions de familles, rĂ©sidences sociales, dispositifs de location, sous-location, accompagnement vers et dans le logement. Pour que cet accĂšs au logement puisse ĂȘtre effectivement favorisĂ©, le ministĂšre du Logement et de l’ÉgalitĂ© des territoires mettra en Ɠuvre tout au long du quinquennat les moyens nĂ©cessaires au dĂ©veloppement d’une offre de logement diversifiĂ©e et adaptĂ©e aux besoins. Concernant l'intermĂ©diation locative, la ministre a annoncĂ© que, courant 2015, un dĂ©cret permettra aux communes de dĂ©duire les dĂ©penses liĂ©es Ă  l'intermĂ©diation locative des pĂ©nalitĂ©s financiĂšres qui peuvent leur ĂȘtre infligĂ©es au titre de la loi SRU. L'une des prioritĂ©s du Gouvernement est aussi de relancer la construction et particuliĂšrement la production de logement social et trĂšs social. L'accord triennal appelĂ© Agenda 2015-2018, signĂ© le 25 septembre avec l’Union sociale pour l’habitat, a pour but d'accroĂźtre la construction et la rĂ©novation de logements sociaux sur les trois prochaines annĂ©es. Un milliard d’euros y est consacrĂ©. Simplifier les formalitĂ©s de demandes de logements sociaux L’usager pouvait depuis dĂ©cembre 2013 renouveler sa demande de logement social en ligne via le service Cette formalitĂ© annuelle, nĂ©cessaire dans l’attente de l’obtention d’un logement, impliquait auparavant de se dĂ©placer auprĂšs d’un guichet. Au mois de janvier 2015, 30% des intĂ©ressĂ©s ont fait leur renouvellement en ligne soit prĂšs de 20 000 opĂ©rations dĂ©matĂ©rialisĂ©es. À compter d'avril 2015, ce site s’enrichit comme prĂ©vu d’une nouvelle fonctionnalitĂ© l’enregistrement en ligne des nouvelles demandes de logement, via un dossier unique adressĂ© Ă  diffĂ©rents bailleurs. Ainsi, il n’aura plus Ă  dupliquer le mĂȘme dossier formulaire et piĂšces justificatives associĂ©es auprĂšs des diffĂ©rents acteurs concernĂ©s. Dans la continuitĂ© des amĂ©liorations apportĂ©es pour faciliter les formalitĂ©s et optimiser ce service public, les demandeurs pourront dĂ©poser en ligne les justificatifs accompagnant leur demande d’ici la fin de l’annĂ©e. Constituer un dossier papier ne sera plus un impĂ©ratif. Il sera aussi possible de suivre les principales Ă©tapes du traitement de sa demande. Le mouvement HLM s’est par ailleurs engagĂ© Ă  consacrer 300 millions d’euros par an sur 3 ans pour proposer des logements Ă  niveau de loyer trĂšs faible, afin d’amĂ©liorer l’accĂšs au logement social pour les personnes les plus dĂ©munies. Au total, 15 000 de ces super PLAI seront construits d’ici Ă  2018, dont 5 000 dĂšs 2015. Cette production s’ajoutera au programme de PLAI adaptĂ©s dont le deuxiĂšme appel Ă  projets a Ă©tĂ© lancĂ© en mai dernier, pour crĂ©er 2 000 supers PLAI sur l’annĂ©e 2014 et 3 000 par an Ă  compter de cette annĂ©e. Pour complĂ©ter ce plan, une action forte est menĂ©e sur le logement accompagnĂ©. L'appel Ă  projets, lancĂ© en avril 2014, a pour objet la rĂ©alisation de 10 000 logements sociaux accompagnĂ©s sur trois ans. L’enjeu est de favoriser la coopĂ©ration entre les bailleurs sociaux et les associations pour faciliter l’accĂšs au logement social de mĂ©nages cumulant des difficultĂ©s Ă©conomiques et sociales, en leur proposant un accompagnement adaptĂ© Ă  leur situation. Enfin, la loi pour la croissance, l'activitĂ© et l'Ă©galitĂ© des chances Ă©conomiques vise Ă  augmenter sensiblement l’offre de logements locatifs intermĂ©diaires, pour soutenir la filiĂšre du bĂątiment, permettre aux classes moyennes de se loger plus facilement et pour moins cher, et rĂ©duire la pression sur le parc de logement social. Des mesures pour produire plus de logements sociaux Dans un contexte oĂč 1,7 million de demandes de logements sociaux sont en attente et oĂč la mixitĂ© sociale est un impĂ©ratif pour mieux vivre ensemble, Sylvia Pinel appelle chaque maire Ă  contribuer Ă  l’effort de production de logement social et Ă  respecter les obligations de la loi SRU. PrĂšs de 120 000 logements sociaux ont Ă©tĂ© financĂ©s en 2014, dont 106 414 en mĂ©tropole hors Agence nationale de rĂ©novation urbaine 51 490 PLUS, 28 449 PLAI et 26 475 PLS ; 6 300 dans les dĂ©partements d’Outre-Mer ; et 6 661 dans les quartiers Anru. Cela reprĂ©sente une baisse de 12% par rapport Ă  2013. Cette baisse, qui s'explique par les Ă©lections municipales, a Ă©tĂ© renforcĂ©e par la remise en cause de nombreux projets par des nouveaux maires. Des mesures fortes sont prises par le Gouvernement pour financer les projets de logements sociaux, notamment avec l’aide aux maires bĂątisseurs ; le taux de TVA rĂ©duit Ă  5,5 % depuis le 1er janvier 2014 ; l’exonĂ©ration de la taxe fonciĂšre sur les propriĂ©tĂ©s bĂąties ; l’aide Ă  la pierre ; la mobilisation de plus d’1 milliard d’euros avec Action Logement ; le maintien du taux du Livret A Ă  1 %. Pourquoi ? L’impĂ©ratif de solidaritĂ© que porte le Gouvernement est rĂ©affirmĂ©. 3,5 millions de personnes sont non ou trĂšs mal logĂ©es aujourd’hui en France selon les chiffres de la fondation AbbĂ© Pierre 20e Rapport annuel sur l’état du mal-logement, fĂ©vrier 2015. Selon le mĂȘme rapport, plus de 5 millions de personnes sont en situation de fragilitĂ© Ă  court ou moyen terme dans leur logement. Une publication de l’Insee de juillet 2013 indique que 141 500 personnes sont sans domicile en France mĂ©tropolitaine au dĂ©but de l’annĂ©e 2012, soit une large progression par rapport Ă  l’enquĂȘte de 2001. Parmi elles, on recense 81 000 adultes accompagnĂ©s de 30 000 enfants, qui ont utilisĂ© au moins une fois les services d’hĂ©bergement ou de restauration dans les agglomĂ©rations de plus de 20 000 habitants, auxquelles s’ajoutent 8 000 personnes sans domicile dans les communes rurales et petites agglomĂ©rations, ainsi que 22 500 personnes en centres d’accueil pour demandeurs d’asile. En poursuivant votre navigation sur notre site, vous acceptez l’utilisation de cookies pour permettre d’amĂ©liorer votre expĂ©rience utilisateur. OK ⌂ Accueil âšČ DĂ©partement Nombre d'associations dans ce dĂ©partement, pour cette catĂ©gories. CALEBASSIERS INSERTION - Insertion par l'emploi. Engager des actions liĂ©es Ă  la protection et Ă  l'embĂ©lissement des quartiers. CHANTIER REUNIONNAIS D'INSERTION DES PERSONNES A L'EMPLOI CRIPE - Mettre Ă  disposition Ă  titre onĂ©reux, auprĂšs des particuliers, d'associations, de collectivitĂ©s ou d'entreprises, des personnes sans emploi qui, en raison des difficultĂ©s sociales et professionnelles article du code de travail, ne sont pas susceptibles dans l'immĂ©diat d'ĂȘtre embauchĂ©es par des entreprises classiques, assurer l'accueil de ces personnes ainsi que l'accompagnement et le suivi de leur itinĂ©raire de rĂ©insertion dĂ©velopper tout savoir-faire et ingĂ©nierie rĂ©pondant Ă  la ASSOCIATION POUR LE DEVELOPPEMENT DE SAINT FRANÇOIS - ADSF - favoriser le lien social, promouvoir diffĂ©rents modes d' expression pour un meilleur Ă©panouissement des individus dans son environnement; amener un plus grand nombre d'ĂȘtre acteur dans l'organisation d' activitĂ©s et de manifestations socioculturelles, sportives et Ă©conomiques de son quartier; mettre en place des actions dans le domaine de la solidaritĂ© et de l'insertion ASSOCIATION KER OUVER - susciter et promouvoir toutes les actions pouvant favoriser une meilleure insertion professionnelle et ou sociale du RĂ©unionnais, elle se donne Ă©galement comme objectif de maintenir edt de dĂ©velopper des rĂ©actions d'Ă©changes, de respect mutuel, de solidaritĂ© entre les diffĂ©rentes personnes prĂ©sentes Ă  la RĂ©union, elle pourra Ă©galement promouvoir et dĂ©velopper des Ă©changes culturels,humanitaires, Ă©ducatifs et sportifs, accompagner et travailler avec les personnes leurs projets d'insertion professionnelle, accompagner et travailler avec les personnes leurs projets d'insertion sociale, dĂ©velopper des liaisons avec les associations et les groupes nationaux ou Ă©trangers en rapport avec les objectifs de l'association, organiser des activitĂ©s de loisirs, culturelle, etc..., mise en place de divers ateliers ayant pour objectif d'informer et d'Ă©changer avec la population ASSOCIATION MISSION LOCALE NORD - insertion sociale et professionnelle des jeunes de 16 Ă  25 ans et de tout autre public des communes de Saint-Denis ,de sainte-marie et de sainte-Suzanne susceptible d'ĂȘtre concernĂ© par un projet d'insertion; cet objet se rĂ©alisera conformĂ©ment aux textes lĂ©gislatifs et rĂšglements relatifs au rĂ©seau des Missions Locales et savoir ordonnance du 26 mars 1982;loi du 19 dĂ©cembre 1989 ; la charte des Missions Locales du 12 dĂ©cembre1990 ; circulaire N° CAB TEFP 11/94 relative aux procĂ©dures comptables ; loi quinquennale du 20 dĂ©cembre 1993 ASSOCIATION D'AMENAGEMENT DE LA ZONE 5 - mettre Ă  disposition des personnes sans emploi auprĂšs des particuliers, associations, entreprises et collectivitĂ©s, dans tous les corps de mĂ©tiers ; effectuer des tĂąches non couvertes par le secteur marchand ; permettre aux personnes en difficultĂ© de s'insĂ©rer socialement et professionnellement en favorisant le retour Ă  l'emploi ; apporter aussi une rĂ©ponse aux services de proximitĂ© ; la compĂ©tence de l'association s'Ă©tend sur tout le dĂ©partement de la rĂ©union COMITE REUNIONNAISE POUR L INSERTION CRI - promouvoir en faveur de ses adhĂ©rents toute action Ă  l' amĂ©lioration de leur condition de vie; organiser des loisirs et dĂ©velopper des activitĂ©s sportives et culturelles, ainsi que toutes formes de service social s'etendant Ă  l'ensemble de ses membres; aider Ă  l'insertion professionnelles de toute personne et ce, par tous les moyens existants; l' action de cette action est indĂ©pendante de toute considĂ©ration politique, syndicale, philosophique ou professionnelle ASSOCIATION LOCALE D'INSERTION PAR L'ECONOMIQUE - favoriser l'insertion sociale, professionnelle et Ă©conomique des personnes en danger d'exclusion, de mettre en place et de soutenir le volet culturel du dĂ©veloppement social urbain des communes, notamment en luttant contre l’analphabĂ©tisme et l’illettrisme ; d’œuvrer pour l’amĂ©lioration de l’environnement et du cadre de vie des habitants et de contribuer Ă  l’amĂ©lioration de la vie des familles, d’encourager l’initiative et collective et notamment d’assurer un soutien technique et administratif aux associations qui en feront la demande ainsi qu’aux promoteurs et crĂ©ateurs d’activitĂ©s sociales, culturelles et Ă©conomiques ; a cette effet l’ pourra servir de support juridique au PLAN LOCAL PLURIANNUEL POUR L'INSERTION ET L’EMPLOI PLIE en assurant la mise en oeuvre du dispositif dans le respect des textes applicables ; plus gĂ©nĂ©ralement, sur l’ensemble du DĂ©partement de la RĂ©union, l’ pourra concourir Ă  favoriser l’insertion sociale et professionnelle des personnes en difficultĂ©s. A cet effet, elle pourra notamment intervenir dans le cadre de conventions souscrites auprĂ©s d’entitĂ©s publiques et privĂ©es marchĂ©s publics et privĂ©es, par ailleurs, l' pourra nouer des relations privilĂ©giĂ©es avec les missions locales ou tout autre organisme concourant notamment Ă  l’insertion ou Ă  la rĂ©insertion professionnelle des publics en difficultĂ© ASSOCIATION POUR LE DEVELOPPEMENT DE LA RIVIERE DES PLUIES - ARIDEP - mettre en place des activitĂ©s dans les domaines suivants culturel, social, insertion pour l'Ă©conomie pour dĂ©velopper la vie du quartier sur les principes de l'Ă©change et de la solidaritĂ© ASSOCIATION DES IDEES ET DES REVES. - mise en place et le suivi de projets dans tous les domaines artistiques et culturel, jeunesse et Ă©ducation populaire , coopĂ©ration, sport et loisirs, social, santĂ© et humanitaire, artisanal et Ă©conomique, Ă©cologique et touristique, formation et insertion, civisme et citoyennetĂ©, etc afin de permettre l'Ă©panouissement, l'intĂ©gration et la promotion des personnes au niveau individuel et au niveau collectif Ă  la RĂ©union et l'extĂ©rieur;diffuser entre tous ses membres les informations utiles liĂ©es Ă  son activitĂ© associative; l'association dispose des moyens d'actions que sont la tenue de rĂ©unions de travail et d'assemblĂ©es pĂ©riodiques, la publication d'un bulletin, les confĂ©rences, l'organisation d'activitĂ©s et de manifestations,.. et toutes initiatives pouvant aider Ă  la rĂ©alisation de l'objet de l'association ASSOCIATION RACINE ET PARTAGE - mise en place et suivi de projets dans tous les domaines artistique et culturel, jeunesse et Ă©ducation populaire, coopĂ©ration, sport et loisirs, social, santĂ© et humanitaire, artisanal et Ă©conomique, Ă©cologique et touristique, information et insertion, civisme et citoyennetĂ©, etc afin de permettre l'Ă©panouissement, l'intĂ©gration et la promotion des personnes au niveau individuel et niveau collectif Ă  la RĂ©union et Ă  l'extĂ©rieur, rĂ©unir des personnes autour des thĂšmes ayant un lien avec la nature humaine ; diffuser entre tous ses membres les informations utiles liĂ©es Ă  son activitĂ© associative ASSOCIATION POUR L'INTERVENTION SOCIALE ET FAMILIALE DE LA REUNION - proposer aux personnes et aux groupes les plus fragilisĂ©s une intervention sociale, prĂ©ventive, Ă©ducative et rĂ©paratrice, visant Ă  favoriser leur autonomie, leur intĂ©gration dans leur environnement et Ă  crĂ©er le lien social; l'association s'inscrit dans des politiques d'action sociale ainsi que dans des actions collectives GROUPEMENT OEUVRANT POUR L'UTILITE SANITAIRE SOCIALE ET L'ENVIRONNEMENT - mettre en place toutes ses activitĂ©s d'insertion sociale et professionnelle, culturelle et de lien intergĂ©nĂ©rationnel ; organiser, dĂ©velopper, rĂ©pondre et participer Ă  toute action , marchĂ© atelier ou chantier d'insertion de lutte anti vectorielle et de lutte contre toute nuisance portant atteinte Ă  l'environnement et la santĂ© entretenir et valoriser les espaces publics, naturels et les sentiers, avec une attention particuliĂšre Ă  ceux Ă  vocation touristique ; soutenir en prioritĂ© les publics dits fragiles personnes de tous Ăąges privĂ©es d'emplois, celles relevant de l'action sociale Territoriale, les personnes ĂągĂ©es et handicapĂ©es maintenues Ă  domicile par le biais d'embauche sous contrat aidĂ©, de prestation de services Ă  la personne, d'activitĂ©s Ă  caractĂšre social AGIR POUR L'INSERTION REUNION API RUN - proposer aux personnes en difficultĂ©s un accompagnement social et une activitĂ© professionnelle afin de faciliter leur insertion; l'accompagnement des porteurs de projets et mise en activitĂ© des bĂ©nĂ©ficiaires du RMI; dĂ©veloppement de projets dans les quartiers dits "sensibles"; dĂ©veloppement des NTIC par le biais des actions cybercases; initiation des jeunes aux pratiques artistiques et sportives ; organiser des manifestations musicales, sportives, artistiques et culturelles; organisation de soirĂ©e Ă  thĂšmes, de festivals, foires, salons; accompagner, conseiller les personnes en difficultĂ© dans la crĂ©ation d'entreprises ou de projets; entretien des espaces verts ASSOCIATION ACTION PRO NETTOYAGE - l'insertion au travers des activitĂ©s de nettoyage, d'entretien de maintenance de bĂątiment ou d'espaces verts pour le compte de collectivitĂ©s ou toutes autres personnes morales ou physique ; elle assurera Ă©galement des activitĂ©s de formation professionnelle continue en vue de favoriser l'intĂ©gration de personnes rencontrant des rĂ©elles difficultĂ©s d'intĂ©gration ASSOCIATION DE DEVELOPPEMENT DES DES COLONIALES, DES OLYMPIADES, DE LA ROCADE, DE PIERRE ET SABLE, DE TOUCOULEUR, DES ORIENTALES, DES PARALLELES - la mise en place d'une RĂ©gie de Quartier, elle veillera Ă  rĂ©unir toutes les conditions pour que la RĂ©gie ait les moyens et la viabilitĂ© d'atteindre trois objectifs principaux ; contribuer Ă  tisser et dĂ©velopper les liens sociaux dans les quartiers dans un cadre partenarial ; favoriser la participation des citoyens Ă  la vie des diffĂ©rentes citĂ©s des CORPSTOP ; crĂ©er des activitĂ©s, marchandes et non marchandes, supports d'emplois et favorisant le parcours d'insertion et la formation des habitants les plus en difficultĂ© ASSOCIATION DE GESTION POUR L'INSERTION ET LE DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE ET SOCIAL URBAIN AGIDESU - favoriser l'insertion par l'Ă©conomique sur le territoire de la ville du port. animer toute action en lien avec le dĂ©veloppement social urbain et participer ou impulser toutes initiatives en ce sens. ASSOCIATION DE CO-OPERATIONS SOCIALES ET D’INITIATIVES LOCALES. - proposer un ensemble d’actions Ă  caractĂšres d’aides et de service de proximitĂ© en direction des personnes vulnĂ©rables, dans le besoin et en situation prĂ©caire elle vise Ă  dĂ©velopper et Ă  mettre en œuvre en prioritĂ© des aides individualisĂ©es, des actions de types d’insertion et/ou de rĂ©insertion sociale et professionnelle, celles nĂ©cessaires Ă  la lutte contre les phĂ©nomĂšnes d’exclusion pour plus de solidaritĂ©, de dĂ©veloppement humain nĂ©cessaire Ă  une meilleure inclusion Ă©co citoyenne sur le territoire KILTIR ENSEMB REUNIONNAIS - socioculturel sportive et environnement-insertion JEUNESSEDAKAR - environnement, proximitĂ© et socioculturel sportive KARTIER FRANCAIS CITOYENS SAINTE SUZANNE - promouvoir les sports loisirs sous toutes ses formes ; favoriser l'insertion sociale et professionnelle ; pratiquer des Ă©changes socio culturelles et sportifs ; faire immerger et valoriser des bĂ©nĂ©voles ; agir pour la protection de l'environnement et l'embellissement du quartier ; . ASSOCIATION POUR LE DÉVELOPPEMENT DES ACTIONS TERRITORIALISEES - dĂ©velopper des actions d'insertion sur l'ensemble des territoires nationaux et notamment des actions sportives, culturelles et de loisirs COLLECTIF FRERE DARKOUR - gestion de dispositifs ou d'actions d'insertion, d'emploi et de formation, favorisant l'insertion sociale et professionnelle des demandeurs d'emploi ou des personnes en situation de prĂ©caritĂ©; favoriser la rencontre des individus, des familles et des associations, leur donnant ainsi la possibilitĂ© de se livrer Ă  des activitĂ©s Ă©ducatives et culturelles et d'exprimer les besoins des diffĂ©rents groupes; gĂ©rer, animer, promouvoir, soutenir ou favoriser la crĂ©ation et le dĂ©veloppement d'activitĂ©s d'ordre social, familial ou culturel et sportif VALORIX CONSULTANT - formation-conseil en boulangerie, pĂątisserie, cuisine et divers travaux en hĂŽtellerie, pour les demandeurs d'emploi, bĂ©nĂ©ficiaire des minima sociaux, d'entreprise, associations dans l'OcĂ©an Indien et Ă  l'international; faciliter leurs dĂ©marches pour l'installation et le suivi PREVENTIONCITOYENNE438 - l'association a pour objet la gestion de dispositifs ou d'actions d'insertion, d'emploi et de formation, favorisant l'insertion sociale et professionnelle des demandeurs d'emploi ou des personnes en situation de prĂ©caritĂ© ; - organiser des actions de prĂ©vention contre les incivilitĂ©s - accompagner les publics prĂ©caires - Favoriser la rencontre des individus, des familles et des associations, leur donnant ainsi la possibilitĂ© de se livrer Ă  des activitĂ©s Ă©ducatives et culturelles et d'exprimer les besoins des diffĂ©rents groupes ; -GĂ©rer, animer, promouvoir, soutenir ou favoriser la crĂ©ation et le dĂ©veloppement d'activitĂ©s d'ordre social, familial ou culturel ; - promouvoir la musique et le sport sous toutes ses formes ASSOCIATION NOU LE KAPAB - montrer par des initiatives divers le potentiel des jeunes du quartier - d'inciter les gens du quartier a des activites cultureles et socio culturelles ASSOCIATION POUR LE DEVELOPPEMENT DE L'EST - permettre par l'utilisation des dispositifs rĂ©glementaires et lĂ©gaux le dĂ©veloppement du territoire Est et permettre l'insertion des ressortissants de ce mĂȘme territoire par l'utilisation de l'emploi aidĂ© comme tremplin vers un emploi pĂ©renne ASSOCIATION POUR L'INSERTION DES REUNIONNAIS - assurer le suivi socio-professionnel dans le cadre des actions insertion mises en place par les associations ou les diffĂ©rentes collectivitĂ©s mairie, dĂ©partement, rĂ©gion, EPCI ; apporter une expertise pour la mise en place d'actions insertion ; accompagner les entreprises dans leurs dĂ©marches insertion en mobilisant les diffĂ©rents dispositifs de droit commun ; accompagner les collectivitĂ©s dans leurs dĂ©marches insertion en mobilisant les codes de marchĂ© public ; ĂȘtre une instance de rĂ©flexion ASSOCIATION DE PROMOTION ET DEVELOPPEMENT ECONOMIQUE DE LA REUNION APDER - mettre en oeuvre des actions afin de susciter des projets entrepreneuriales, les accompagner, faire de l'animation au niveau social, culturel, patrimonial, environnemental et intervenir dans des actions d'insertion ; promouvoir des activitĂ©s Ă©conomiques, Ă©ducatives et ludiques par tout type d'action et par tout moyen ; animations endogĂšnes et exogĂšnes ; mise en place de moyens matĂ©riels et prestations de services nĂ©cessaires Ă  la bonne marche de toutes organisations Ă©vĂšnementielles ; augmenter et/ou dĂ©velopper l'acquisition des compĂ©tences par le biais de programme de formation, de sĂ©minaire ; accompagner des Ă©mergences de projets BRAS PANON INTEGRATION - insertion professionnel de personnes rencontrant de rĂ©elles difficultĂ©s d'intĂ©gration et plus particuliĂšrement, la mise Ă  disposition temporaire de personnels recrutĂ©s prĂ©alablement auprĂšs d'entreprise utilisatrice ASSOCIATION TAILLE LA KOUR - insertion professionnelle au travers des missions d'entretien et d'embellissement des espaces verts et environnementales ASSOCIATION NOUVEAU GENERATION LA KOUR BRAS-FUSIL - organiser des manifestations sportives et culturelles, loisirs ; mettre en place des chantiers d'insertion au sien de notre quartier et autres ; valoriser et entretenir le quartier L' UNION COEUR DE VILLE - mettre en place des actions dans l'insertion socioprofessionnelle, dans le socioculturel, dans l'environnement et dans la proximitĂ© POUR LES FAMILLES REUNIONNAISE - aide Ă  l'insertion professionnelle et sociale des jeunes de Saint-Paul; ĂȘtre le porte parole des jeunes de la commune auprĂšs des divers organismes d'insertion et de proposer des actions de formation par le biais de rencontre avec le diffĂ©rent acteur Ă©conomique de la commune; aider les familles les plus en difficultĂ©s de la commune de Saint-Paul au niveau alimentaire, vestimentaire ; aider les familles dans leurs diffĂ©rentes dĂ©marches administratives; mettre en place des ateliers et des actions contre l'illettrisme; permettre aux femmes des diffĂ©rents quartiers de la commune de Saint-Paul de sortir de leurs quotidien par la mise en place d'activitĂ©s sportives, socioculturelle et autres; dĂ©marche administrative pour les femmes battues et en difficultĂ©s ASSOCIATION IN L'ESPWAR - dĂ©velopper les quartiers du littoral Ă  travers diffĂ©rentes activitĂ©s; aider Ă  la protection de l'environnement, plantations, arbres endĂ©mique; rĂ©amĂ©nager le site de littoral Trois-Bassins, sentier, espaces verts, entretiens des routes dĂ©partemental, aire minĂ©ral, Ă©quipement de sport de loisirs; l'insertion des personnes en difficultĂ©s sociales dĂ©pendante, en difficultĂ©s financiĂšres, chĂŽmeurs longue durĂ©e; l'insertion par l'activitĂ© Ă©conomique; mettre en place des activitĂ©s et manifestations sociaux culturelles, couture, broderie, tricotage, objet artisanaux et sportives pour dynamiser la vie du quartier; promouvoir la musique rĂ©unionnaise; organiser toute action Ă©vĂšnementielle destinĂ©e Ă  dĂ©fendre et valoriser notre patrimoine environnemental; mettre en place l'aide aux devoirs et les activitĂ©s pĂ©riscolaires Ă  destinations des enfants, Ă©coles primaires MAIN DANS LA MAIN LA RITIF - intervenir sur le sentier pĂ©destre entre la Ravine de la Plaine et Sans-Soucis; mettre en place des activitĂ©s et manifestations socioculturelles, festives et sportives afin de dynamiser la vie du quartier; mettre en oeuvre toutes les mesures ou actions menant Ă  l'insertion sociale des jeunes et des moins jeunes du quartier du Chemin Boutique Rouge et de l'Impasse des Mangues de la Plaine; aider Ă  la protection de l'environnement, l'amĂ©nagement et l'embellissement du quartier et du patrimoine du secteur de la Plaine en mettant en place des chantiers d'insertions; proposer des actions de formation aux jeunes du quartier par le biais de rencontre avec les diffĂ©rents acteurs Ă©conomiques de la zone et partenaires institutionnels; participer Ă  l'Ă©conomie sociale et solidaire du dĂ©veloppement durable; aider la population du quartier dans leurs dĂ©marches administratives ou Ă  la recherche d'emploi; ĂȘtre le porte parole des jeunes du quartier auprĂšs de diffĂ©rents organismes d'insertion ADI, pĂŽle emploi, CCIR, AFFAR... de mettre en place en faveur des habitants du quartier des loisirs ; loto quine, voyage, dĂźner ou thĂ© dansant. ASSOCIATION PAZAPA - promouvoir Ă  l'amĂ©lioration du quartier par son Ă©panouissement, animation culturelle, animation sportive, mise en place de diffĂ©rents ateliers NA METT ENSAMB' - encadrer des jeunes de quartiers, aider les personnes en difficultĂ©s FORT DAUPHIN - dĂ©velopper toutes les actions susceptibles d'amĂ©liorer le cadre de vie des habitants de Trois Bassins par des activitĂ©s socio-Ă©ducatives, artisanales, culturelles, de loisirs et environnementales ; accompagnement vers la crĂ©ation d'activitĂ© des adhĂ©rents suite Ă  une formation ; assistance administrative et sociale des structures associatives ; promouvoir des activitĂ©s pĂ©riscolaires festives, sociales, culturelles et sportives Ă  l'intention des enfants 3 Ă  17 ans et de leur famille destinĂ©es Ă  soutenir l'action Ă©ducative des enseignants, sans se substituer au rĂŽle pĂ©dagogique de ceux-ci et ainsi favoriser l'Ă©veil des enfants ; proposer la garde d'enfants scolarisĂ©s en dehors des heures et pĂ©riodes scolaires et organiser des accueils collectifs de mineurs pendant les vacances scolaires ; soutenir le projet Ă©ducatif des Ă©coles en valorisant tout dispositif concernant l'accompagnement scolaire sur la base d'un projet pĂ©dagogique ; Ă©coute et rencontre des parents pour parler de l'Ă©ducation, de la responsabilitĂ©, de la prĂ©sence et de l'investissement des parents au sein des Ă©tablissements scolaires de Trois Bassins et particuliĂšrement les Ă©coles primaires ; faire du secteur de l'animation vecteur de l'insertion professionnelle pour les adhĂ©rents CITERNE BOIS DE NEFLES - favoriser les Ă©changes intergĂ©nĂ©rationnels, mettre en place des actions Ă  caractĂšres sociales, culturelles, Ă©ducatives, sportives et de loisirs - insertion professionnelle et sociale des personnes; formation professionnelle du public en situation de difficultĂ© d'insertion ou d'employabilitĂ©; accompagnement scolaire de tout public; toute intervention dans le cadre de l'Ă©conomie sociale et solidaire; conduite d'ateliers de proximitĂ© et de cohĂ©sion sociale MIEUX VIVRE ENSEMBLE QUARTIER EPERON - amĂ©liore et dĂ©velopper le quartier de l'Eperon en mettant en place divers actions rĂ©pondant aux demandes de la population

association pour les femmes en difficulté 974